En réaction à l’annonce selon laquelle les autorités turques ont décerné des mandats d’arrêt à 42 journalistes, la directrice adjointe d’Amnesty International pour l’Europe, Gauri van Gulik, a déclaré :
" Il s’agit de la dernière évolution préoccupante de ce qui s’apparente de plus en plus à une purge fondée sur l’affiliation politique. "
" En prenant pour cibles les journalistes, le gouvernement ne fait plus de distinction entre infractions pénales et critiques légitimes. Plutôt que d’intimider les journalistes pour les réduire au silence, les autorités turques devraient permettre à la presse de faire son travail et mettre immédiatement fin à cette répression de la liberté d’expression. "