Les frappes doivent limiter les dommages causés aux civils en Syrie

Washington – D’après certaines informations, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ont lancé une frappe contre des cibles en Syrie. Raed Jarrar, directeur du plaidoyer pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord à Amnesty International États-Unis, a publié la déclaration suivante :

« Le peuple de Syrie a déjà subi six années d’attaques dévastatrices, dont des attaques à l’arme chimique, qui pourraient constituer des crimes de guerre. Il faut prendre toutes les précautions afin de réduire au minimum les dommages aux civils dans le cadre des opérations militaires. Les gens qui vivent déjà dans la peur de mourir dans le cadre d’attaques illégales ne doivent pas être davantage sanctionnés pour les violations présumées imputables au gouvernement syrien.

« Des millions de personnes ont fui la Syrie pour échapper aux violences et aux persécutions. L’administration de Donald Trump ne doit pas tourner le dos à la souffrance des hommes, des femmes et des enfants en continuant d’interdire aux réfugiés l’entrée sur le territoire américain. Il est temps pour les États-Unis de rouvrir leurs portes aux personnes qui tentent de fuir les violences en Syrie. »

Cette déclaration est disponible en ligne en anglais à l’adresse suivante : https://www.amnestyusa.org/press-releases/strikes-must-minimize-further-harm-to-civilians-in-syria/

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