Les logiciels espions permettent aux États d’avoir accès à la caméra, à l’écran, et à l’ensemble des documents, images et vidéos contenus sur un téléphone. Initialement conçus pour lutter contre le terrorisme, Amnesty a investigué de nombreux cas dans lesquels ils ont été utilisés pour surveiller des défenseur·es des droits humains, journalistes et personnalités politiques. De plus, le Luxembourg participe activement à la propagation des logiciels espions. Sans régulations, nous pouvons nous attendre à ce que les logiciels espions envahissent de plus en plus nos vies privées, et menacent ainsi les libertés et droits de chacun·e.
